« Je voulais transmettre ce sentiment créé par un ciel de crépuscule ou d’orage, devant un paysage majestueux, devant le visage buriné d’un ancien, par l’humanité du regard d’un grand singe.
Je souhaitais un pigment libre, simple et tout naturellement, je me suis dirigé vers l’aquarelle.
J’aime sa relation magique avec l’eau permettant, la fusion des pigments sur le papier,
J’aime son caractère imprévisible, sa fluidité, sa transparence. »
Comme apprentissage, de nombreux stages avec des artistes de différents pays et de différents styles (France, Australie, Belgique, Angleterre, Etats-Unis, Taiwan, Inde)
Je ne les nommerai pas tous, de peur d’en oublier un seul.
Et surtout l’essentiel, beaucoup, beaucoup d’heures de pratique, à jouer avec ce pigment.
Mes influences
Eugène Boudin pour ses ciels Normands,
Cézanne avec La Sainte Victoire.
Les aquarellistes anglais, John Constable, William Turner.
Les paysages polynésiens de William Alister MacDonald.
La part de rêve de Zao Wou Ki.
Delacroix, me donnant envie d’explorer le carnet de voyage.